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Position de Bruno Gares, président de la Fédération Française d’Escrime, sur le vote des pays membres de la Fédération Internationale d’Escrime décidant la réintégration des athlètes russes et biélorusses.

La Fédération Internationale d’Escrime et la majorité de ses nations membres ont voté le 10 mars 2023 en Congrès extraordinaire, par un vote électronique en visioconférence, la réintégration des athlètes russes et biélorusses en compétition internationale.

La Fédération Internationale d’Escrime et la majorité de ses nations membres ont voté le 10 mars 2023 en Congrès extraordinaire, par un vote électronique en visioconférence, la réintégration des athlètes russes et biélorusses en compétition internationale.

Tout d’abord, à la demande de la Fédération ukrainienne, les membres ont été sollicités par une motion visant au report sine die de ce vote : Bruno Gares, comme d’autres représentants d’associations membres, ont donné leur accord, sans toutefois obtenir la majorité nécessaire. Les votes suivants portant sur la réintégration des athlètes sur les épreuves individuelles, puis dans les épreuves par équipes, puis des officiels et des dirigeants, ont donc eu lieu.

Bruno Gares, président de la Fédération Française d’escrime et membre du COMEX de la FIE, a voté contre la réintégration des tireurs, dirigeants et officiels russes et biélorusses. Depuis le début du conflit entre la Russie et l’Ukraine et lorsque celui-ci a notamment irradié les terrains de sport, la position de la France a toujours été très claire : les athlètes russes et biélorusses ne peuvent pas prendre part aux compétitions sportives internationales, jusqu’à nouvel ordre.

Nous nous en remettons en toute confiance au CIO, institution mondiale souveraine de la gouvernance du sport, qui exprimera sa position avec le cadrage et les règles qui s’imposent, à quelques jours du démarrage des qualifications olympiques et à moins de 500 jours de l’ouverture des jeux Olympiques de Paris.

Par ailleurs, dans un souci constant de travailler de concert avec nos institutions nationales régaliennes et le mouvement sportif, la Fédération Française mènera les échanges nécessaires.